Accueil Actualités Témoignage de Madame Michèle, directrice adjointe à l’École du Tournesol, au sujet des classes modulaires

Témoignage de Madame Michèle, directrice adjointe à l’École du Tournesol, au sujet des classes modulaires

Classes à la fine pointe, murs coupe-son, larges couloirs et air à la qualité contrôlé et climatisé : les « classes-roulottes » ne sont plus ce qu’elles étaient. À quelques jours de la rentrée, nous avons accompagné le journal Le Soleil, alors qu’il visitait la nouvelle génération de locaux modulaires avec Michèle Binette, directrice à l’École du Tournesol, ancienne élève de l’École Taniata et ancienne enseignante à l’École du Grand-Voilier, hier après-midi, locaux qui sont appelés à se multiplier dans les quartiers.

Photo : Journal Le Soleil

L’enseignante Michèle Binette, aujourd’hui directrice adjointe d’une école de Lévis, n’a « que du positif » à dire de son année passée dans une section préfabriquée. (Patrice Laroche/Le Soleil)

« Michèle Binette fait partie de ceux qui ont eu « la chance » d’étudier dans un local temporaire quand elle était au primaire, à l’École Taniata. Mais après avoir enseigné pendant un an dans un local modulaire « nouvelle génération », elle rêve désormais qu’on lui annonce l’ajout de classes modulaires à son école. « Franchement, c’est la plus belle année que j’ai eue », confie-t-elle en visitant le complexe « en roulottes » du Centre national de conduite d’engins de chantier. Le centre de formation professionnelle a récemment acheté le module préfabriqué d’une douzaine de classes dans lequel elle a enseigné la deuxième année il y a deux ans à peine, à l’École du Grand Voilier, à Saint-Nicolas.

« Ça, c’était mon local! » lance-t-elle en jetant un regard à la première classe du deuxième étage. Plafonds hauts, module d’air climatisé intégré et grands espaces : « c’était parfait » pour enseigner à 24 élèves, assure-t-elle. »

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